
Vous avez aimé le Grand Pestacle, adoré le Grand Sextacle, vous allez idolâtrer Le Grand Boudin Moule, le dernier de la trilogie de cette bande de fous-furieux, de déjantés, d’originaux, d‘authentiques vieux de la vielle qui vont se dépasser, outrepasser et déborder.
Ce sera quoi cette fois : un thème fort à la mode, les questions de genre, d’identité, de sexualité, comment on se sent, comment on change, comment on oscille d’un genre à l’autre, comment il nous a été désigné, parfois à tort, comment on s’en contente, ou pas, comment on s’en sort, ou pas, comment on le joue, le surjoue, et c’est tout une énigme ! À qui profite le crime de cette séparation ? Les avantages physiques, sociaux. Et les désavantages ? Essayez-vous avec un pénis, un vagin et sans rien. Essayez-vous avec un autre habillement. Tenter l’autre genre. Tout se passe comme si, influencé par le questionnement actuel, cette troupe voyait ce que cela produisait sur eux, se posait des questions sur leur fluidité et leur oscillation sur la ligne du genre.
Alors, le regard fier, ils vont tout oser, ces gens-là !
Crédits photographiques : Amélia Jacob

LE GRAND BOUDIN MOULE
Jeu :
Mohamed Almafraji, Claire Coché, Annick Cornette, Christine Mobers, Jean-Pierre Nicaise, Michel Novelaux, Estelle Petit, Jean-Philippe Pettiaux, Véronique Resler
Texte et mise en scène : Frédérique Lecomte
Scénographie et costumes :
Christine Mobers
Production :
Théâtre et Réconciliation (VF)
Chargée de production :
Mansuela Nguizani
